Des paysages préservés
La station de Risoul forme, avec celle de Vars, l'un des plus grands domaines skiables reliés des Alpes du Sud : le domaine de la Forêt Blanche.
Située entre 1850 m et 2750 m d'altitude, la station déploie ses pistes dans une magnifique forêt de mélèzes. Elle offre aussi des points de vue uniques sur les massifs environnants, des Alpes Maritimes à la Haute-Savoie et du massif des Ecrins au Queyras.
Avec ses chalets et ses résidences habillées de bois et de pierre, elle a gardé les allures d'un village de montagne au charme d'antan.
Des activités pour tous
Forte d'une capacité d'hébergement de près de 20.000 lits, Risoul accueille des skieurs de tous les niveaux. Les 185 km de pistes balisées du Domaine de la Forêt Blanche se répartissent de la manière suivante : 21 vertes, 45 bleues, 40 rouges et 10 noires.
Son altitude, l'étendue de son domaine skiable et l'orientation de ses pistes au nord sont autant de gages d'un bon enneigement.
Cette station où neige et soleil font bon ménage compte aussi :
- 17 km d'itinéraires ski de fond et raquettes
- 1 piste de slalom
- 2 pistes de luge naturelles
- 1 espace débutant gratuit
- 1 piste de luge sur rail "luge dévale".
Des actions pour l'environnement
Station labellisée Famille Plus, Risoul s'est aussi engagée dans une démarche environnementale pour réduire l'impact de ses activités touristiques sur l'environnement montagnard.
Dès les années 1970, cette station a été conçue selon des critères écologiques avant l'heure, par son implantation, son architecture ou encore l'interdiction de certains modes de chauffage.
Dans l'avenir, la station souhaite s'équiper de constructions conformes aux normes THPE (Très Haute Performance Energétique).
La politique environnementale de Risoul concerne aussi l'enneigement en neige de culture. Pour produire de la neige de culture, la station s'est dotée d'un système de pompage qui lui permet de capter l'eau dans un fleuve souterrain relié à la Durance et non dans la nappe phréatique.
Ce système permet aussi d'économiser 30 à 50% de la consommation électrique nécessaire à l'acheminement de l'eau.
